Le président vénézuélien Nicolas Maduro est au cœur d’une controverse internationale après que la responsable des affaires étrangères de l’Union européenne a remis en question la légitimité de sa victoire électorale de juillet.
Rejet de la validation par l’Union européenne
L’Union européenne s’est alignée avec plusieurs autres nations, dont des pays d’Amérique latine et les États-Unis, pour contester la validation de la victoire de Nicolas Maduro par la Cour suprême vénézuélienne, déplorant le manque de preuves publiques démontrant sa légitimité.
Appel à la transparence électorale
- Les autorités internationales ont pressé à maintes reprises Nicolas Maduro de rendre publics les résultats officiels des élections, soulignant l’importance d’une transparence totale dans le processus démocratique.
- Josep Borrell, haut représentant de l’UE, a déclaré : « Seuls des résultats complets et vérifiables de manière indépendante seront acceptés et reconnus », soulignant l’importance de la vérifiabilité des résultats électoraux.
Réponse cinglante de Nicolas Maduro
Lors d’une réunion des pays de l’ALBA, un bloc de gouvernements de gauche dans les Amériques, Nicolas Maduro a vivement réagi aux propos de Josep Borrell, l’accusant d’être complice de divers conflits internationaux et de prendre pour cible le Venezuela.
Refus de divulguer les résultats
- Nicolas Maduro maintient sa position de vainqueur des élections présidentielles de juillet, mais il a choisi de ne pas divulguer les résultats électoraux, suscitant des accusations d’opacité de la part de la coalition d’opposition principale.