Un an après le séisme dévastateur dans le Haut Atlas marocain, des familles vivent toujours dans des conditions précaires, entassées sous des tentes en plastique.
La vie difficile de Saïda, 10 ans, après la catastrophe
Saïda, une petite fille de 10 ans, vit avec sa mère Yamina dans l’un des villages ravagés par le séisme. Après la destruction de leur village, 48 personnes ont perdu la vie, laissant les survivants vivre sous des abris de fortune.
- 48 personnes sont décédées, soit un tiers des habitants, lors du séisme.
- Saïda et sa mère Yamina vivent toujours dans une tente en plastique, malgré la chaleur étouffante.
- Les agriculteurs locaux, privés de tout, ne survivent que grâce à une aide financière de l’État.
Des conditions de vie insoutenables
Sous des températures dépassant les 40 degrés, Saïda et sa mère vivent dans des conditions extrêmement difficiles. La chaleur intense fait fondre peu à peu le plastique des tentes, rendant leur abri de plus en plus fragile.
- La chaleur excessive affecte la qualité de vie des habitants, en particulier des enfants comme Saïda.
- L’accès à l’eau de source est un défi quotidien pour de nombreuses familles.
- Le versement mensuel du gouvernement, bien que vital, est sur le point de s’achever, laissant planer l’incertitude sur l’avenir des sinistrés.
Malgré ces difficultés, l’espoir d’une reconstruction et d’un avenir meilleur persiste parmi les sinistrés, témoins d’une nuit tragique le 8 septembre 2023.