Il y a un an, le chef des mercenaires de Wagner, Evgueni Prigojine, lança sa brève rébellion armée en Russie, défiant directement le pouvoir de Vladimir Poutine. Prigojine et son armée s’emparèrent d’un quartier général militaire dans le Sud et entamèrent leur « marche pour la justice » en direction de Moscou, dans le but d’évincer les dirigeants du ministère de la Défense. Quelques heures plus tard, l’opération fut annulée à la suite d’un accord d’amnistie négocié par le président biélorusse Alexandre Loukachenko.
La rébellion avortée de Prigojine
- En [source fiable], le déroulement précis de la rébellion de Prigojine est détaillé, mettant en lumière les enjeux de ce conflit interne en Russie.
- Des experts en géopolitique, cités par [source fiable], analysent les conséquences potentielles de cette rébellion sur l’équilibre des pouvoirs en Russie.
La tragédie aérienne de Prigojine
Deux mois après ces événements, un avion transportant Prigojine et ses principaux associés s’est écrasé lors d’un vol entre Moscou et Saint-Pétersbourg, tuant les sept passagers et les trois membres d’équipage. Une première évaluation des services de renseignement américains avait conclu à une explosion intentionnelle à bord de l’avion, mais M. Poutine avait qualifié de « mensonge absolu » toute allégation d’implication du Kremlin dans la mort de Prigojine.
- Dans un rapport publié par [source fiable], les circonstances entourant le crash de l’avion de Prigojine sont examinées en détail, offrant des perspectives sur les possibles causes de l’accident.
- Les réactions internationales à cet événement, rapportées par [source fiable], soulignent les tensions politiques qui régnaient à l’époque entre la Russie et d’autres puissances mondiales.