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ois candidats retenus pour présidentielle en Tunisie

ois candidats, dont le président sortant Kaïs Saïed, ont été retenus pour se présenter à l'élection présidentielle en Tunisie le 6 octobre. Des experts estiment que le scrutin est "joué d'avance" alors que de nombreux prétendants ont été éliminés pour diverses raisons, notamment des obstacles administratifs.
Une illustration HD représentant Zouhair Maghzaoui, 59 ans, un ancien député défenseur du panarabisme, et Ayachi Zammel, également ancien député, chef d'un petit parti peu connu, approuvés par l'autorité électorale tunisienne. Mettez en avant leur sérieux et leur engagement politique, avec des éléments symbolisant la démocratie et la diversité des opinions. Évitez les symboles politiques forts et privilégiez une représentation respectueuse et équilibrée des deux hommes.

Trois candidats, dont le président sortant Kaïs Saïed, ont été retenus pour se présenter à l’élection présidentielle en Tunisie le 6 octobre, un scrutin sous haute tension.

Processus de sélection controversé

**Kaïs Saïed**, âgé de 66 ans, brigue un deuxième mandat présidentiel. Deux autres candidats, **Zouhair Maghzaoui**, ancien député défenseur du panarabisme, et **Ayachi Zammel**, chef d’un petit parti peu connu, ont également été retenus par l’autorité électorale Isie.

  • Les 14 autres prétendants éliminés peuvent déposer des recours, mais les experts soulignent les obstacles rencontrés par les rivaux de Saïed.
  • Les candidats devaient obtenir le parrainage de dix parlementaires, 40 élus locaux ou 10 000 électeurs, avec diverses contraintes administratives à respecter.
  • Certains opposants, tels Issam Chebbi et Ghazi Chaouachi, sont emprisonnés, ce qui suscite des critiques sur le processus de sélection en cours.

Accusations de dérive autoritaire

**Kaïs Saïed** a été démocratiquement élu en 2019, mais son coup de force en 2021 lui a valu des accusations de dérive autoritaire. L’opposition dénonce une monopolisation du pouvoir et des manoeuvres pour écarter les concurrents.

  1. **Absence d’égalité des chances**: L’amiral Kamel Akrout a dénoncé des obstacles visant à favoriser un seul candidat.
  2. **Exclusion de figures de l’opposition**: Des personnalités politiques influentes, dont Abir Moussi, sont soit en détention soit écartées du processus électoral, ce qui suscite des interrogations sur la transparence de l’élection.
  3. **Critiques sur le manque de clarté des règles du jeu**: Safi Saïd, militant politique, a renoncé à sa candidature, dénonçant un environnement politique peu propice à une compétition équitable.

Le scrutin du 6 octobre s’annonce comme une formalité contestée par une partie de l’opposition. La légitimité du processus électoral est remise en question par des observateurs nationaux et internationaux.

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