Des manifestants sont descendus dans les rues de Téhéran mercredi pour protester contre l’assassinat d’Ismail Haniyeh. Le chef politique du groupe militant palestinien Hamas a été tué par une frappe de missile dans la ville tôt mercredi matin, quelques heures après avoir assisté à la prestation de serment du nouveau président iranien. La mort d’Haniyeh a suscité des menaces de vengeance contre Israël.
Protestations à Téhéran suite à l’assassinat d’Ismail Haniyeh
La situation à Téhéran est tendue, alors que des manifestants ont pris d’assaut les rues pour exprimer leur colère suite à l’assassinat d’Ismail Haniyeh, chef du Hamas. Cette action violente a secoué la capitale iranienne et risque d’avoir des répercussions au niveau international.
Réactions internationales et menaces de vengeance
La mort d’Haniyeh a entraîné une série de réactions internationales, avec des appels à la vengeance contre Israël. Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a clairement affirmé que Téhéran se devait de venger l’assassinat de Haniyeh. Cette escalade de la tension entre l’Iran et Israël soulève des inquiétudes sur une éventuelle intensification du conflit au Moyen-Orient.
- La frappe de missile contre Haniyeh : Ce qui s’est passé
- Les réactions des autorités iraniennes et internationales
- Les conséquences possibles de cet événement sur la situation régionale
Bien que cette frappe de missile semble être la dernière opération israélienne visant ses ennemis dans le monde, le gouvernement israélien n’a pas encore fait de commentaire sur son assassinat. Un étudiant, Amir Hossein Rahemi, a vivement condamné cet acte et souligné la nécessité d’une réponse décisive de l’Iran.
- Les protestations à Téhéran
- Les demandes de rétribution contre Israël
- Les implications pour la sécurité régionale
L’assassinat de Haniyeh survient à un moment précaire dans la guerre en cours entre Israël et le Hamas à Gaza. Il participait à des pourparlers sous l’égide internationale pour parvenir à un cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne. En outre, le lieu de son assassinat augmente la probabilité que le conflit dégénère en guerre régionale. Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a qualifié mercredi de « devoir de Téhéran » de venger l’assassinat de Haniyeh, car il a eu lieu dans la capitale iranienne.