Les manifestations du mouvement « Occuper le Parlement » persistent malgré la répression du gouvernement
Le mouvement déterminé à poursuivre ses actions
Malgré la violente répression du mardi 25 juin, les manifestants du mouvement « Occuper le Parlement » restent déterminés à faire entendre leur voix. Face au déploiement de l’armée et aux menaces du chef de l’État, ils annoncent qu’ils comptent poursuivre leur démarche et organiser de nouveaux rassemblements dans les jours à venir. Leur objectif demeure clair : obtenir l’abandon total du projet de taxes inclus dans la loi de finances 2024-25.
Les protestataires s’organisent malgré les obstacles
Depuis le début des manifestations, les contestataires utilisent activement les réseaux sociaux pour exprimer leur mécontentement et mobiliser leurs soutiens. Les plateformes sociales jouent un rôle crucial dans l’organisation des rassemblements et le partage d’informations au sein du mouvement « Occuper le Parlement ». Malgré la censure et les tentatives de blocage des autorités, les manifestants continuent de trouver des moyens de communication alternatifs pour maintenir leur mobilisation.
- Le mouvement « Occuper le Parlement » refuse de baisser les bras malgré la répression du gouvernement.
- Les réseaux sociaux sont un outil essentiel pour la coordination des actions et la diffusion de l’information au sein du mouvement.
- Les manifestants font preuve de résilience et d’ingéniosité pour contourner les obstacles à leur mobilisation.
En dehors de Nairobi, les manifestations s’étendent à d’autres villes du Kenya, telles que Mombasa à l’est et Kisumu à l’ouest, bastions de l’opposition. Eldoret, ville principale de la vallée du Rift et région d’origine du président William Ruto, n’échappe pas à la mobilisation citoyenne et accueille également des rassemblements.
- Les manifestations se propagent dans différentes villes du Kenya, au-delà de la capitale Nairobi.
- Mombasa et Kisumu, villes marquées par l’opposition politique, sont des foyers de contestation importants.
- Eldoret, ville symbolique dans la région du Rift, connaît également des mouvements de protestation malgré son lien avec le président.