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L’Egypte nie tout implication dans conflit au Soudan

L'Égypte réagit fermement aux accusations du chef des Forces de soutien rapide du Soudan, Mohamed Hamdan Dagalo, qui a affirmé que Le Caire aurait bombardé ses positions au Soudan. Le ministère égyptien des Affaires étrangères nie catégoriquement ces allégations et demande des preuves, tout en appelant à une enquête internationale.
Sur une scène désertique, imaginez des diplomates égyptiens et soudanais discutant pacifiquement sous l'œil bienveillant du Sphinx. L'atmosphère est paisible, mettant en avant la collaboration et la résolution diplomatique, évoquant le démenti de l'Egypte quant à toute implication dans le conflit au Soudan. L'image doit refléter la notion de dialogue constructif et de paix entre les deux nations.

L’Égypte nie catégoriquement les accusations du chef des Forces de soutien rapide du Soudan concernant son implication dans le conflit au Soudan.

Les Accusations de Mohamed Hamdan Dagalo

  • Mohamed Hamdan Dagalo, chef des Forces de soutien rapide, a affirmé que l’Égypte avait bombardé leurs positions à Jabal Moya, dans l’État de Sennar, au Soudan.
  • Il a également déclaré que l’Égypte aurait fourni huit avions de guerre et des bombes de fabrication américaine à l’armée soudanaise.

La Réponse du Ministère Égyptien des Affaires Étrangères

  • Le ministère égyptien des Affaires étrangères a publié un communiqué rejetant fermement ces allégations et demandant des preuves au général Dagalo.
  • Il a également appelé à une enquête de la communauté internationale pour faire la lumière sur ces allégations.

Depuis le début du conflit en avril 2023, le Soudan a été le théâtre d’affrontements entre les forces armées soudanaises et les Forces de soutien rapide, causant la mort de plus de 20 000 personnes et entraînant le déplacement de près de 10 millions de civils, selon les Nations Unies.

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