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Le Pape interpelle les autorités après le massacre au Nord-Kivu

Le Pape François condamne les massacres dans l'est de la République démocratique du Congo et appelle à des actions pour mettre fin à la violence. Le gouvernement du Congo rapporte 41 morts par des militants liés à l'État islamique, tandis que des groupes locaux estiment que le bilan pourrait atteindre jusqu'à 80 victimes.
Un dessin représentant le Pape parlant avec des autorités congolaises, entourés de symboles de paix et d'espoir, sur fond de paysage du Nord-Kivu. Le Pape est calme mais déterminé, les autorités écoutent attentivement. L'atmosphère est à la fois solennelle et empreinte d'un sentiment d'action positive.

Le Pape François a récemment condamné les massacres survenus dans l’est de la République démocratique du Congo, appelant à des mesures urgentes pour mettre fin à la violence.

Appel à la fin de l’effusion de sang

Le souverain pontife a exprimé sa profonde préoccupation face aux récents combats et massacres qui ont secoué la région orientale du Congo. Il a lancé un appel poignant aux autorités nationales ainsi qu’à la communauté internationale, les exhortant à agir de manière décisive pour arrêter la violence et protéger la vie des civils. Le Pape a souligné que de nombreux chrétiens figuraient parmi les victimes, tués en raison de leur foi, qualifiant ces personnes de martyrs.

Situation critique dans la province du Nord-Kivu

Le gouvernement congolais a confirmé que des militants liés au groupe État islamique ont perpétré une attaque dévastatrice ayant coûté la vie à au moins 41 personnes dans plusieurs villages de la province du Nord-Kivu. Cependant, les groupes de la société civile locales rapportent un bilan beaucoup plus lourd, pouvant atteindre jusqu’à 80 victimes tombées lors de l’attaque survenue vendredi dernier.

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