Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
drapeau cameroun

Cameroun

drapeau togo

Togo

drapeau benin

Bénin

drapeau sénégal

Sénégal

drapeau de la centrafrique

RCA

drapeau gabon

Gabon

continent afrique noir

Edition pays

Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Kenya : Rejet de la requête du vice-président.

La Haute Cour de Nairobi rejette la requête du vice-président kényan Rigathi Gachagua visant à annuler la motion de censure lancée contre lui. La procédure de destitution se poursuit, avec le Sénat appelé à se prononcer. Accusé de corruption et d'insubordination, le vice-président nie les allégations, dénonçant un complot politique.
Un vice-président kenyan contrarié, debout devant la majestueuse Haute Cour, manifestant de la confusion et de la frustration. Des références subtiles à la destitution (comme des documents froissés et une balance inclinée) parsèment la scène. L'ambiance est sérieuse mais non hostile. Le bâtiment de la Haute Cour en arrière-plan, imposant et symbolique.

Le vice-président kényan Rigathi Gachagua a vu sa tentative d’annuler la motion de censure lancée contre lui rejetée par la Haute Cour. La procédure de destitution se poursuit.

Rejet de la requête par la Haute Cour de Nairobi

La Haute Cour a pris une décision concernant la procédure de destitution du vice-président kényan Rigathi Gachagua. Après son approbation par l’Assemblée nationale par 282 voix sur 349, la procédure doit maintenant être examinée par le Sénat.

Les accusations contre le vice-président

  • Le vice-président Rigathi Gachagua avait saisi la Haute Cour dans l’espoir de bloquer la procédure de destitution en cours. La motion, déposée par un député de la coalition présidentielle, comporte 11 accusations contre lui, dont des allégations de corruption, d’atteinte à l’unité nationale et d’insubordination.
  • Il est appuyé par une équipe d’une vingtaine d’avocats qui affirment qu’il s’agit d’un complot directement lié aux différends existants avec le président William Ruto.

Prochaine étape : vote au Sénat

Au Sénat, un minimum de 45 voix sur 68 sera requis pour que la procédure de destitution soit validée. Pour l’instant, la chambre haute du Parlement kényan n’a pas encore fixée de date pour ce vote crucial qui déterminera le sort du vice-président.

Partager l'article :