Le conflit au Proche-Orient continue de susciter des tensions à l’échelle internationale, avec des échanges verbaux intenses à l’Assemblée générale des Nations Unies. L’Iran a récemment exprimé ses préoccupations quant à la situation à Gaza et au Liban, appelant à un cessez-le-feu et dénonçant ce qu’il qualifie de « barbarie désespérée d’Israël ».
Position de l’Iran à l’ONU
Lors de son intervention à l’Assemblée générale, Masoud Pezeshkian, nouveau président de l’Iran, a appelé la communauté internationale à agir en faveur d’un cessez-le-feu durable à Gaza. Il a condamné les actions d’Israël au Liban, les qualifiant de « barbarie désespérée ».
- Il a critiqué la réponse israélienne aux tensions au Liban et à Gaza, dénonçant des actions qu’il qualifie de « terrorisme d’État israélien ».
- Pezeshkian a également accusé Israël de commettre un « génocide » à Gaza en visant des infrastructures civiles, tout en affirmant le soutien de l’Iran aux Palestiniens.
- Il a souligné la volonté de l’Iran de préserver sa sécurité et de promouvoir la paix régionale, rejetant toute intention de provoquer l’insécurité.
Réactions internationales et escalade des tensions
Les échanges d’attaques entre Israël et le Hezbollah ont généré une escalade des tensions au Moyen-Orient, avec des conséquences humanitaires dévastatrices.
- Israël a justifié ses frappes au Liban comme des mesures de protection de ses civils, affirmant avoir ciblé les lanceurs de missiles du Hezbollah.
- Le Hezbollah a riposté en lançant des attaques contre Israël, intensifiant ainsi les hostilités et entraînant des pertes des deux côtés.
- Les appels à la désescalade sont nombreux, avec des dirigeants mondiaux, y compris Justin Trudeau, exhortant à la protection des civils et à la recherche de solutions pacifiques.
Cette nouvelle escalade des tensions au Proche-Orient alarme la communauté internationale, qui redoute l’émergence d’un conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région et au-delà.