Le Comité international olympique (CIO) a révélé une liste de sept candidats potentiels pour succéder à Thomas Bach en tant que président, ce dernier devant quitter ses fonctions l’an prochain après avoir atteint la limite de 12 ans de mandat.
Candidats en lice pour la présidence du CIO
- Prince Feisal al Hussein de Jordanie
- Juan Antonio Samaranch Jr d’Espagne
- Kirsty Coventry du Zimbabwe
- David Lappartient
- Morinari Watanabe
- Johan Eliasch
- Sebastian Coe
Profil des candidats
Parmi les candidats figurent des personnalités telles que Juan Antonio Samaranch Jr, prince Feisal al Hussein, Kirsty Coventry, David Lappartient, Morinari Watanabe, Johan Eliasch et Sebastian Coe, des figures éminentes du monde du sport et des affaires.
- Prince Feisal al Hussein et Sebastian Coe, champions olympiques respectés, font partie des postulants.
- Le banquier d’affaires Juan Antonio Samaranch Jr, fils de l’ancien président du CIO, est également l’un des prétendants.
- David Lappartient, Morinari Watanabe et Johan Eliasch apportent leur expertise en tant que présidents d’organisations sportives internationales.
- Kirsty Coventry représente la seule candidate féminine, membre de la commission exécutive du CIO.
Élection du prochain président du CIO
Les candidats ont jusqu’à janvier pour dévoiler officiellement leur intention de se présenter. L’élection se déroulera lors d’une réunion électorale en Grèce en mars, où seuls les membres du CIO pourront voter pour élire le nouveau président.
Le nouveau président du CIO prendra en charge l’organisation des Jeux olympiques futurs, y compris ceux de Los Angeles en 2028 et de Brisbane en 2032, tout en gérant les enjeux cruciaux tels que le changement climatique et les accords de diffusion.
La course à la présidence du CIO se déroule dans un cadre discret où les candidats doivent respecter des règles strictes en matière de campagne électorale, sans possibilité de débattre publiquement ni de publier des vidéos promotionnelles.
Le prochain président du CIO devra démontrer une grande compétence en gestion sportive, une compréhension des besoins des athlètes et des compétences en relations internationales pour diriger une organisation de grande envergure générant des milliards de revenus.
Cette élection sera déterminante pour l’avenir du mouvement olympique et la direction qu’il prendra dans les années à venir.