Les conséquences dévastatrices du conflit entre Israël et le Hamas à Gaza
Des traumas profonds et persistants
- Nabila Hamada, résidente de Gaza, pleure la perte de l’un de ses jumeaux lors des récentes hostilités.
- Son enfant, hospitalisé, a été contraint de quitter l’établissement à cause des bombardements, laissant Nabila dans l’incertitude la plus totale.
- Comme elle, des milliers de Gazaouis souffrent de traumatismes liés aux pertes familiales et à la violence de neuf mois de guerre.
La crise sanitaire et psychologique s’intensifie
- L’anxiété, la dépression et la colère se propagent parmi les déplacés, aggravant leur état psychologique déjà fragile.
- Environ 1,2 million d’enfants nécessitent un soutien psychosocial, mais les ressources disponibles restent insuffisantes.
- Les déplacements répétés ont entraîné le déplacement de 1,9 million des 2,3 millions d’habitants, accroissant les traumatismes et la précarité.
Jehad El Hams, amputé d’un œil et de doigts à cause d’une explosion accidentelle, témoigne de la souffrance physique et mentale qui frappe les civils innocents.
Une population vulnérable face à l’escalade des violences
- L’ONU rapporte que les femmes et les enfants forment 70 % des victimes des hostilités, accentuant la vulnérabilité des populations.
- Seuls 100 000 déplacés subsistent à Rafah, alors que les combats s’intensifient, laissant des milliers d’enfants éprouvés livrés à eux-mêmes.
La situation à Gaza demeure critique, plongeant la population dans un cercle de violence, de pertes et de souffrances insoutenables.