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Au Niger, droits humains en chute libre après coup d’État

Les droits humains sont en danger au Niger alors que le régime militaire réprime l'opposition et restreint les libertés, alertent Human Rights Watch, Amnesty International et la FIDH. Des arrestations arbitraires, des limitations à la liberté d'expression et des peines d'emprisonnement inquiètent les organisations. Elles demandent la libération des détenus politiques et le respect des droits fondamentaux.
Une illustration HD représentant la répression de l'opposition, des médias et de la dissidence pacifique par les autorités militaires du Niger. L'image devrait montrer des symboles de censure et de contrôle, tels que des menottes, des chaînes brisées, et des voix étouffées. Utilisez des couleurs sombres pour refléter l'atmosphère oppressante de la situation, tout en mettant l'accent sur l'importance de la liberté d'expression et des droits humains.

Une situation préoccupante : les droits humains en chute libre au Niger.

Préoccupations des organisations internationales

Jeudi 25 juillet, Human Rights Watch (HRW), Amnesty International et la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ont tiré la sonnette d’alarme concernant la situation des **droits humains** au Niger. Depuis l’arrivée au pouvoir d’un régime militaire le 26 juillet 2023, ces organisations dénoncent une série de violations des libertés fondamentales.

  • Les autorités militaires répriment l’opposition, les médias et la dissidence pacifique.
  • Elles exigent la libération immédiate des détenus politiques et le respect des libertés d’expression, d’opinion et d’association.

Appel à la libération de Mohamed Bazoum

Amnesty International demande également la libération de Mohamed Bazoum, président élu renversé lors du coup de force et maintenu en détention avec sa femme Hadiza. Selon la directrice régionale d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et centrale, Samira Daoud, cette détention ainsi que celles d’autres responsables politiques sont arbitraires et ne respectent pas les droits à un procès équitable.

  1. La liberté des médias fortement restreinte
  2. En juin, le régime a rétabli des peines d’emprisonnement liées à une loi sur la diffusion numérique de données « troublant l’ordre public », une mesure critiquée pour son potentiel de musellement de toute voix dissidente.

Célébration du premier anniversaire du régime militaire

Le général Abdourahamane Tiani, à la tête du régime, s’apprête à célébrer son premier anniversaire en fonction lors de festivités étalées sur plusieurs jours. Cet anniversaire survient dans un climat tendu marqué par des critiques internationales concernant les pratiques autoritaires et les atteintes aux libertés fondamentales.

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