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Attaque djihadiste présumée tue 15 soldats maliens

Une attaque terroriste revendiquée par le GSIM, lié à Al-Qaïda, a tué 15 membres des forces de sécurité au Mali. Parmi les victimes, un gendarme et 14 éléments de la garde nationale. Des affrontements précédents avaient causé de lourdes pertes pour le groupe Wagner et l'armée malienne.
Une illustration montrant un groupe de soldats maliens en uniforme, affichant diverses émotions telles que la détermination et la tristesse. Ajoute des symboles de paix ou d'espoir pour contraster avec le contexte sombre. Évite toute représentation graphique de violence ou de sang.

Une attaque terroriste liée à Al-Qaïda a coûté la vie à quinze membres des forces de défense et de sécurité du Mali près de Diallassagou.

Le GSIM revendique l’attaque

Un élu de la région de Mopti, sous couvert d’anonymat pour des raisons de sécurité, a rapporté que l’attaque a été revendiquée par le GSIM, Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans, une alliance djihadiste affiliée à Al-Qaïda. L’embuscade tendue par ces djihadistes a causé la mort d’un gendarme et de 14 membres de la garde nationale du Mali. En plus des victimes, des soldats ont été blessés et d’autres sont portés disparus.

Des pertes lourdes pour le groupe Wagner et l’armée malienne

Plus tôt, fin juillet, de violents affrontements ont entraîné la mort de nombreux soldats maliens et combattants du groupe paramilitaire russe Wagner, lors de combats contre des rebelles séparatistes et des djihadistes dans le nord du pays. Cette bataille est considérée comme la défaite la plus importante subie en une seule confrontation par le groupe Wagner en Afrique. En l’espace de trois jours de combats acharnés, les rebelles touaregs ont prétendu avoir éliminé 84 membres du groupe Wagner et 47 militaires maliens.

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