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Affrontements entre l’armée et les paramilitaires à Khartoum

Des affrontements violents secouent Khartoum, au Soudan, entre l'armée régulière et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), contrôlant une partie de la capitale. Cette offensive survient après l'appel du général Abdel Fattah al-Burhane à désigner les FSR comme groupe terroriste à l'Assemblée générale de l'ONU.
Un bombardement survient dans la capitale soudanaise lors de nouveaux affrontements entre l'armée et les forces paramilitaires. Crée une illustration HD représentant une scène urbaine sous tension, avec des bâtiments endommagés, des nuages de fumée et des groupes armés en conflit, mettant en avant le chaos et la lutte pour le pouvoir. Garde une atmosphère sérieuse et évite toute représentation de violence explicite.

Des opérations militaires secouent Khartoum, la capitale du Soudan, alors que l’armée régulière affronte les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), selon des témoins et une source militaire.

Escalade des affrontements à Khartoum

Les attaques aériennes et les tirs d’artillerie ont débuté à l’aube à Khartoum, marquant une offensive de l’armée pour reprendre le contrôle de certaines parties de la capitale actuellement aux mains des FSR. Depuis des mois, ces derniers ont repoussé l’armée, mais une récente offensive a permis à cette dernière de regagner du terrain, notamment à Omdourman, ville adjacente à Khartoum.

  • Les habitants ont rapporté des tirs d’artillerie intenses sur des bâtiments résidentiels à Omdourman.
  • Des avions militaires ont été aperçus survolant la ville, témoignant de la violence des combats en cours.

Tensions exacerbées par les déclarations internationales

La situation à Khartoum est exacerbée par les récentes déclarations du général Abdel Fattah al-Burhane, chef de l’armée et dirigeant du Soudan. Lors de son discours à l’Assemblée générale de l’ONU, il a demandé que les FSR soient désignées comme un groupe terroriste, accusant ces derniers de nuire aux efforts de paix dans la région.

  1. Le général Burhane a lancé cette demande alors que les tensions entre l’armée et les FSR sont à leur paroxysme.
  2. Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a exprimé sa profonde inquiétude face à l’escalade du conflit à Khartoum, soulignant l’urgence de trouver une solution pacifique.

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